Pouvoir le déterminer est toujours intéressant pour les amateurs de papillons, et plus encore pour les éleveurs. En dépit de la constance des critères (nombre et position des orifices anaux et génitaux), la "lecture" d'une chrysalide peut s'avérer difficile chez certaines espèces, et c'est encore plus vrai si on ne dispose pas de chrysalides des 2 sexes, et donc de la possibilité de les comparer. Pour faire simple, et donc aller à l'essentiel, je dirais que la femelle se distingue du mâle par ses deux orifices, lesquels peuvent être proximaux (comme chez nerii ), ou encore contigüs, voire quasi coalescents et donc assez difficiles à distinguer.